article placeholder

Jefferson vs Hamilton

Le clivage idéologique subsiste plus que jamais entre ceux qui souhaitent le renforcement des pouvoirs de l’État central (Obama) et ceux qui défendent la décentralisation (Ron Paul et le mouvement Tea Party), entre ceux qui, comme Hamilton craignent l'anarchie et pensent en termes d'ordre imposé par le gouvernement fédéral ; et ceux qui, comme Jefferson, craignent la tyrannie et pensent en termes de libertés.
article placeholder

Bastiat pour la postérité

Ludwig von Mises confirme dans les années 20 que la critique de Bastiat « de tous les protectionnistes et tendances associées reste non surpassée à ce jour. Les protectionnistes et interventionnistes n’ont pas été capables d’avancer un seul mot d’une réponse pertinente et objective »
article placeholder

L’économie selon Destutt de Tracy

Philosophe et économiste français, Antoine Louis Claude Destutt de Tracy (1754-1836) mérite notre attention pour sa contribution à la pensée libérale française s’inscrivant dans la tradition de Condillac. Sa méthodologie déductive, son approche libérale des affaires gouvernementales et son subjectivisme autorisent à le qualifier d’économiste proto-autrichien.
article placeholder

Jefferson et Destutt de Tracy

L'esprit du libéralisme a imprégné Jefferson lors de son long séjour en France. La conception de son ami Antoine Destutt de Tracy dans son Traité d’économie politique était que le commerce est la source de tout bien humain, il est la force civilisatrice, rationalisatrice et pacificatrice du monde.
article placeholder

Logique du libéralisme (1). Par Jacques de Guenin

Nous avons montré au chapitre précédent que le concept de Responsabilité se déduit logiquement de celui de Liberté individuelle, puis nous avons présenté toute la richesse supplémentaire qu'il apporte à l'individu. De la même façon, après avoir montré que la recherche du bonheur est indissociable de la liberté individuelle et de la responsabilité, nous allons montrer toute la richesse de ce concept.
article placeholder

Réponse à Jean d’Ormesson par Patrick de Casanove

Le 18 août, dans « Le Figaro », Jean d'Ormesson s’interroge : « le capitalisme est-il capable de se transformer pour survivre à la crise qu'il traverse ? » Les crises sont le fruit inévitable de l’intervention de l’Etat dans l’économie. On le sait depuis le début du XIX° siècle, il suffit de se reporter aux travaux de Charles Coquelin et de Frédéric Bastiat. La catastrophe originelle passe souvent inaperçue. C’est une des causes du drame. On reste dans le « ce qu’on voit » et personne n’anticipe le « ce qu’on ne voit pas ».
article placeholder

Qui est Ayn Rand ?

La traduction française d'Atlas Shrugged sort enfin en France grâce à la persévérance d'Alain Laurent, à la générosité d'Andrew Lessman, au talent de Sophie Bastide-Foltz et au savoir-faire des Belles Lettres. Dans ce roman, le discours fleuve que prononce John Galt à la radio est un véritable manifeste des principes de l’Objectivisme, philosophie qui veut donner une base éthique et philosophique au capitalisme.
article placeholder

Benjamin Franklin sur le luxe, la paresse et le travail

"Un homme vain et fastueux bâtit une belle maison, la meuble avec élégance, y vit d'une manière splendide, et se ruine en peu d'années ; mais les maçons, les charpentiers, les serruriers et d'autres ouvriers honnêtes qu'il a fait travailler, ont pu, par ce moyen, entretenir et élever leur famille. Le fermier a été récompensé des soins qu'il a pris, et le bien a passé en de meilleures mains."