Exposé (en anglais) du Dr David Hart sur la contribution de Frédéric Bastiat au mouvement libéral classique, sur le plan de ses œuvres majeures ainsi que sur quelques unes de ses idées clés telles que le libre-échange et la paix.
Jean-François Revel, dans ses nombreux livres, a toujours su merveilleusement convoquer les faits historiques, politiques et économiques pour démontrer la falsification des adversaires de la liberté.
Si la carrière de Bastiat a été grande en quelque chose, c'est par la conviction; et, s'il est un profit spécial à retirer de l'étude de ses ouvrages et de celle de sa vie, c'est le sentiment qu'il exprime à toutes les pages de sa correspondance, la Foi aux principes.
Qu’est-ce qu’un marché libre ? Pour répondre à cette question, il n’est pas de meilleure illustration qu’un petit texte de l’écrivain américain Leonard Read, publié dans la revue The Freeman en 1958 et intitulé I, pencil, (« Moi, le crayon »).
Ce que rejette Hitler dans le communisme, ce n’est pas son socialisme, c’est son origine juive et sa tendance internationaliste. C’est pour les mêmes raisons qu’Hitler condamne le capitalisme. Écrit comme une enquête policière, dans un langage clair, ce livre s’attache à détruire un par un les mythes populaires au sujet du national-socialisme.
La solution aux difficultés de notre système de santé n’est pas dans les plans de sauvetage de la Sécu, elle est dans l’économie de marché. Elle seule autorise les progrès et les innovations qui engendrent les utilités gratuites.
L’Institut Coppet est très complémentaire de Contrepoints qui constitue une porte d'entrée privilégiée dans la pensée libérale. La mise à disposition de livres - y compris en format électronique - permet de creuser les concepts que l'on a découvert sur divers articles.
La propriété est à l'ordre économique ce que le soleil est à notre monde. Celui qui se fait d'elle une idée juste et complète ne tarde pas à reconnaître qu'elle est le point central autour duquel gravite tout le reste.
Selon Bastiat, le mécanisme social, comme le mécanisme céleste, ou le mécanisme du corps humain, obéit à des lois générales. Autrement dit, il s’agit d’un ensemble déjà harmonieusement organisé. Et le moteur de cette organisation, c’est le marché libre.
Nous nous croirons suffisamment récompensé de nos peines si nous sommes parvenu à recruter quelques prosélytes de plus à la cause à laquelle nous avons voué notre vie, et dont le Credo peut se résumer en ces mots : la Liberté et la Paix.
Une fois ces mythes réfutés, les lecteurs seront en mesure de discuter du libertarianisme, libres de l’influence des idées fausses ; il sera alors possible de débattre de cette philosophie, d’en évaluer les mérites et les démérites.
Faire de l’entrepreneur un esclave et d’un organisme d’exécution, la volonté de la collectivité, revient à tuer toutes les valeurs de la personne humaine et priver l’économie des impulsions les plus valables.
Ce livre offre une vue très synthétique de la pensée libérale dans plusieurs de ses aspects, y compris (et surtout) les plus contestés. L’auteur cherche à illustrer que la préoccupation du libéralisme est avant tout d’ordre éthique, et non seulement économique comme beaucoup le pensent.