La liberté se visite – Le Musée Denis Diderot à Langres

Les penseurs et défenseurs de la liberté en France ne jouissent pas d’une renommée telle qu’on doive voir avec indifférence le succès des initiatives qui tâchent de les faire mieux connaître et mieux valoir. Il en est ici des musées comme du reste. À peine notre pays compte-t-il un Musée Voltaire, un Musée Pierre Bayle, et un Musée Diderot : et en attendant de pouvoir présenter un jour les richesses d’un Musée Turgot, Frédéric Bastiat ou Jean-Baptiste Say (les lieux ne manqueraient pas, s’il ne manquaient pas plutôt et d’abord d’argent), c’est à ces figures libérales plus larges, plus composites, qu’il faut recourir, si l’on veut, en libéral, reprendre goût avec le tourisme culturel.

Les premières propositions de réforme de Boisguilbert

Dans cette lettre, Boisguilbert se présente au contrôleur général comme un donneur d’avis ayant, contrairement aux autres, l’avantage de connaître les faits, doté qu’il est d’un bagage de connaissances pratiques « acquises par quinze années de forte application au commerce et au labourage ». Il explique ensuite dans les grandes lignes ses idées économiques : si le peuple est misérable, c’est qu’il souffre de l’incohérence de la fiscalité et des entraves à la liberté du commerce ;  il convient donc d’établir la liberté des chemins et de réformer l’assiette de l’impôt.

Nécessité de la concurrence religieuse

Dans cette brochure de 1899, Yves Guyot défend la séparation des Églises et de l’État. « Que ce soit ce système ou un autre qu’on adopte, dit-il, le but à poursuivre, c’est d’établir, contre l’Église catholique actuelle, la possibilité de la concurrence religieuse. »

Faits nouveaux

Ernest Martineau, « Faits nouveaux » (Le Courrier de La Rochelle, 20 avril 1905). FAITS NOUVEAUX Monsieur le directeur, La pétition que vous avez publiée, dans votre dernier numéro, si nos concitoyens ... LIRE LA SUITE