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La fausse réfutation des bienfaits du libre-échange par Galiani

Au milieu de la controverse qu’il agita avec ses Dialogues (1770), Ferdinando Galiani chercha à tourner en ridicule les arguments physiocratiques en faveur du libre-échange dans un texte intitulé La liberté des bagarres. Il ne livrait là toutefois qu’une nouvelle mauvaise plaisanterie, où il assimilait l’échange à un vol, la concurrence à la guerre, et mille autres sophismes étriqués qu’il aurait été impossible de soutenir sérieusement.
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Le dirigisme démontré impossible. Mises et ses précurseurs français

Sur la question de l’impossibilité du dirigisme, le nom de Ludwig von Mises doit rester éternel. Il lui faudrait toutefois partager cette gloire avec un petit groupe d’audacieux penseurs français, les Physiocrates. Car c’est en France, dans l’agitation autour de la question — vitale au premier degré — de la liberté du commerce du blé, que les premiers arguments sur l’impossibilité du dirigisme s’étaient fait jour.
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#TeamPhysiocrates

Dans le monde universitaire, les spécialistes actuels de la Physiocratie sont des adversaires du libéralisme. Un livre collectif récent regroupe les contributions de plusieurs d’entre eux sur les anti-physiocrates, auteurs qui aident, disent-ils, à remettre en question les lois naturelles de l’économie et à lutter contre le néolibéralisme, l’ennemi ultime.
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L’impérialisme, son coût et ses dangers (préface à Nation, État et Économie de L. von Mises)

En 1919, après avoir dû quitter le confort de la scène intellectuelle de Vienne pour rejoindre le front des combats, Mises revient à ses activités et prépare un ouvrage, Nation, État et Économie, dans lequel il entend tirer les leçons du récent conflit mondial, redresser les conceptions erronées que les hommes se sont faites sur la nation, et fixer la voie pour un avenir plus radieux.