La déflation ne détruit que les entreprises et les industries qui vivent, comme des parasites, aux dépens du reste de l’économie, et qui ne doivent leur survie qu’à notre système de papier-monnaie actuel.
Le mariage est une institution importante. La faute moderne est de penser que les choses importantes doivent être planifiées, sponsorisées, autorisées par le gouvernement. Les deux clans qui s'affrontent partagent un même point de vue ou une même hypothèse : le collectivisme.
Le raisonnement économique peut s'appliquer même dans ce domaine où il semblait a priori exclu. Quel meilleur endroit pour appliquer la logique de l'action humaine que le mariage et la famille ?
N’en déplaise à Alain Minc, nous ne subissons pas « un coup de folie qui a trois racines : l’irrationalité des investisseurs, l’inconséquence des banques, et l’inculture des agences de notation ». Ce que nous vivons, c’est la réalité qui rattrape les politiciens.
Pour les collectivistes, le libéralisme écraserait les plus faibles, n’aiderait pas les plus démunis. Il ne serait donc pas social et ne pourrait être moral. Pourtant il n’existe pas de bonne morale sans liberté.
Le livre de Lionel Robbins illumine la route de ceux qui veulent une politique de bien-être et de progrès ; je souhaite qu'il fasse ce miracle de rendre la vue aux aveugles, et le bon sens aux hommes. Jacques Rueff
Il existe aujourd'hui un autre choix que la droite ou la gauche. Les libertariens ne sont ni « de gauche » ni de « droite » ni même une combinaison des deux. Ils pensent que, sur chaque question, chacun a le droit de décider pour lui-même ce qui est meilleur pour lui et d’agir selon ses préférences, tant qu’il respecte le droit des autres à faire de même.
Ce texte consiste en un court réquisitoire contre l'absolutisme qui étonne par son érudition et par sa profondeur, alors qu'il a été rédigé par un jeune homme d'à peine 18 ans. Ce texte pose la question de la légitimité de toute autorité sur une population et essaye d'analyser les raisons de la soumission de celle-ci.
C'est une énigme : le libertarianisme, l'un des grands courants de pensée structurant la vie politique aux Etats-Unis, est pratiquement inconnu en France. Un jeune chercheur, Sébastien Caré, 29 ans, vient de publier un ouvrage passionnant pour combler cette lacune. Il démonte ainsi beaucoup d'idées fausses sur l'Amérique.
Il s’agit de montrer que les sciences sociales peuvent accéder à un statut scientifique, à savoir, puisque Hayek accepte la théorie poppérienne, être capables d’engendrer des prédictions testables, alors même qu’elles sont notoirement incapables d’effectuer, au même titre que la physique, des prédictions précises, susceptibles de rendre possible un contrôle technique, une domination efficace des phénomènes.
[amazon-kindle] Il y a deux technologies qui à ce jour permettent de lire des ouvrages, celle, classique, des écrans LCD, et celle de l'encre numérique.
Pour lire avec profit les ebooks mis en ligne par l'Institut Coppet, il vous faut un lecteur numérique. La solution la moins chère du marché c'est le Sony Reader Pocket (PRS-350).
Aujourd’hui, ce qui installera dans la réalité la Nouvelle Citoyenneté, c’est la fantastique rupture due au développement de nouvelles technologies : les citoyens ouvrent les yeux, ils comprennent que la visibilité, la notoriété ne sont plus réservées aux « grands responsables », qu’ils peuvent donner leur avis sans attendre les rendez vous électoraux.
Beaucoup de théoriciens socialistes ont fini par comprendre qu’on ne peut mettre le socialisme en pratique qu’à l’aide de méthodes que le socialisme réprouve.
Il y a deux ans j’ai proposé un remède radical, retirer le monopole de la création monétaire des mains des gouvernements, et laisser cette tâche à l’industrie privée, en partie par provocation amère. Toutefois, plus j’y repensais plus j’étais fasciné par cette idée.