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Henri Hazlitt, l’« illustre ami » de Mises

S’adressant directement à Hazlitt, qu’il appelait son « illustre ami », Mises déclara que si cette nouvelle génération de défenseurs de la liberté devait trouver le succès dans ses efforts, « ce serait dans une large mesure votre mérite, le fruit de votre travail de ces 70 premières années de votre vie »
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Mises, Théorie et histoire (1957)

Le quatrième et dernier grand ouvrage de Mises, Théorie et Histoire (1957), a eu remarquablement peu d'impact et a rarement été cité, même par les jeunes économistes du récent renouveau autrichien. Il reste de loin le chef-d'œuvre le plus négligé de Mises. Et pourtant il fournit le soubassement philosophique de l'Action humaine.

Laissons Faire, n°33, mai 2019

Au sommaire de ce nouveau numéro : une traduction inédite d'un texte de Ludwig von Mises sur la liberté et la propriété ; la modestie du laissez-faire ; Benjamin Constant économiste ; ainsi qu'un dossier complet consacré à l'opposition entre Proudhon et Molinari à l'aube de la Révolution de 1848.
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Le keynésianisme. Par Ron Paul

Beaucoup pensent que Keynes a introduit la théorie d’une intervention gouvernementale massive visant à renforcer l'économie. Ludwig von Mises fit remarquer que Keynes n'avait en fait avancé aucune idée nouvelle. Les prescriptions de Keynes pour sortir de la Grande Dépression existaient depuis longtemps, et ce sont ces idées qui nous ont plongés dans la Dépression.
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Bastiat pour la postérité

Ludwig von Mises confirme dans les années 20 que la critique de Bastiat « de tous les protectionnistes et tendances associées reste non surpassée à ce jour. Les protectionnistes et interventionnistes n’ont pas été capables d’avancer un seul mot d’une réponse pertinente et objective »