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Une anthologie des penseurs libéraux aux Belles Lettres

L’objet de cet ouvrage, inédit par l’ampleur et la variété de son corpus est de mieux savoir ce qu’est le libéralisme, dans toutes ses dimensions, pas seulement économique mais aussi philosophique, politique, morale et culturelle, de donner la parole aux penseurs qui l’ont édifié et prendre appui sur les textes.
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« Je suis libéral, vous êtes malhonnête », Léon Say ou le libéralisme assumé

La chronique de Jean Marc Daniel du 23 mai 2012 sur BFM Business mettait en avant le thème de la faillite bancaire, et précisément le cas de l'Union Générale, banque catholique qui fît faillite en 1882. Bontoux en appelle au ministre des finances, afin de sauver sa banque de la faillite. Ce dernier, Léon Say, petit fils de Jean Baptiste Say, refuse tout simplement de lui venir en aide en justifiant : "je veux votre mort parce que je suis libéral et vous êtes malhonnête".
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Cours d’économie politique (1896) de Vilfredo Pareto

Fortement influencé par Gustave de Molinari, en 1887 ses écrits étaient parvenus à l'attention de celui-ci. Molinari avait alors invité Pareto ensuite à soumettre des articles pour le Journal des Economistes. Pareto rencontrait les libéraux français, et il était devenu ami avec Yves Guyot, qui avait succédé à Molinari comme rédacteur en chef du Journal des Economistes, et qui avait en 1912 rédigé son éloge funèbre.
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Histoire des doctrines économiques par Joseph Rambaud : le libéralisme éclectique

En France les doctrines allemandes, plus ou moins imbues d'historisme et de socialisme d'État, ne sont pas parvenues à dominer. Non seulement les théories des lois économiques naturelles et permanentes ont conservé leur prestige ; mais avec elles se sont aussi conservées les doctrines libre-échangistes que les premiers disciples de Jean-Baptiste Say, puis Frédéric Bastiat, avaient soutenues.
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L’optimisme de l’école française

Tandis que l'école anglaise, avec S. Mill, prêtait une oreille plutôt sympathique aux critiques ardentes qui s'élevaient de toutes parts contre le libéralisme, — l'école française, au contraire, avec Bastiat, s'efforçait de réagir en affirmant plus fortement la foi dans l'ordre naturel et dans le laissez-faire.