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Études thématiques sur le libéralisme français

Examen des ouvrages et des idées de la tradition libérale française sur quelques-uns des grands thèmes de l’actualité.

01. Les libéraux français et la Russie.

L’histoire des rapports entre le libéralisme français et la Russie est celle d’une étrange fascination. La Russie n’a jamais été un modèle de libéralisme, tout au contraire. Mais au XVIIIe siècle et à nouveau au XIXe siècle, elle fait naître l’enthousiasme naïf. À l’époque des Physiocrates, Lemercier de la Rivière est invité par Catherine II pour réformer entièrement la législation, et tous rêvent de transformer la Russie en terre libérale. Cent ans plus tard, Gustave de Molinari croit aussi que la Russie est sur le point de devenir libérale, mais il doit rapidement déchanter.

02. Les libéraux français et les États-Unis.

On a retenu l’admiration des libéraux pour les États-Unis, mais la réalité est un peu différente. Certes, le modèle américain est présent partout dans les écrits du libéralisme français. Mais les libéraux qui ont visité les États-Unis ont fait une expérience en général décevante, et leur avis est critique.

03. Les libéraux français et la Chine.

Au XVIIIe siècle, les libéraux français sont sinophiles, et présentent la Chine comme un modèle de libéralisme : État de droit, méritocratie, propriété privée et liberté, tolérance religieuse ; c’est l’inverse de la société d’Ancien régime. — Mais une fois la Révolution française advenue, le ton change. De Benjamin Constant à Gustave de Molinari, c’est une représentation très critique qui prévaut, et qui ouvre la voie à la conquête de la Chine.

04. Les libéraux français et le racisme.

Les libéraux français sont pour la liberté et la libre communication des peuples, sans distinction de race. Ils s’opposent au racisme et à l’esclavage, tels qu’ils existent par exemple aux États-Unis. Mais voulant faire œuvre de savants, ils sont forcés de se demander si les distinctions raciales que les physiologistes et naturalistes étudient, ont une influence sur la liberté. Un vaste débat s’ouvre avec le livre de Charles Dunoyer, auquel répondent Benjamin Constant et Charles Comte.

05. Les libéraux français et l’antisémitisme.

Pour combattre l’antisémitisme et reconnaître la valeur et la contribution des juifs, il y a unanimité dans le camp libéral. On peut s’en apercevoir lorsque le sujet est discuté à la Société d’économie politique. Mais Yves Guyot, un grand défenseur des Juifs, critique le projet sioniste, soutenant que l’expatriation collective des juifs, volontairement, démontrerait à leurs adversaires qu’en effet ils ne tiennent pas à leur pays. Il faut rester et construire la société libérale que nous voulons, ici en Europe.

06. Les libéraux français et la religion.

Contrairement à une opinion couramment admise, les libéraux français sont en général peu attachés à la religion ; on trouve peu de croyants, moins encore de pratiquants. Mais l’utilité sociale de la religion est défendue par certains, réfutée par d’autres. Dans ce débat s’illustrent notamment Yves Guyot (contre), Gustave de Molinari et Benjamin Constant (pour).

07. Les libéraux français et le pacifisme.

Le libéralisme est opposé à la guerre, pour des raisons à la fois morales et économiques. La guerre est une industrie improductive et même destructive, rappellent Jean-Baptiste Say et Benjamin Constant ; elle est en contradiction avec la civilisation industrielle et matérielle. Mais quant à organiser la paix, les opinions sont divergentes : appel à l’opinion publique, création d’une union des nations, recours à l’arbitrage.

08. Les libéraux français et les guerres de conquête.

Le libéralisme signifie le respect des droits de propriété, et logiquement il entraîne une condamnation de la colonisation (voir par exemple Benjamin Constant, l’Esprit de Conquête.) Mais au XIXe siècle, la plupart des grands libéraux défendent la colonisation, pour des raisons diverses, mais principalement d’honneur national. Ils rencontrent toutefois une opposition : Yves Guyot, Frédéric Passy, condamnent la colonisation par la parole ou par leurs écrits. Entre les deux camps, Gustave de Molinari a une position ambivalente.

09. Les libéraux français et le libre-échange.

Dès le début (Boisguilbert notamment) les libéraux sont pour le libre-échange, qui établit le juste prix, produit l’abondance et le progrès. La liberté du commerce reste au XIXe siècle l’un de leurs thèmes de prédilection : Frédéric Bastiat construit son œuvre autour de ce thème. Mais un débat existe sur les bornes du libre-échange, et la réforme qu’il faut demander : d’un côté sont les partisans des traités de commerce et de l’abaissement des droits de douane, de l’autre les défenseurs du libre-échange complet et intégral sans réciprocité (Gustave de Molinari en 1846, Ernest Martineau en 1880).


Voyages sur les traces de l’école libérale française

 

Dans notre voyage sur les traces de l’école libérale française, nous présentons les principales figures de cette grande tradition intellectuelle sur les lieux qu’ils ont marqués de leur empreinte.

Les Gaulois étaient-ils des libéraux ?

Pour déterminer le caractère libéral ou anti-libéral de la civilisation gauloise, ancêtre de la France, Benoît Malbranque examine sa constitution sociale, ses institutions, ses dogmes, sur la base des témoignages des historiens de l’Antiquité et des travaux des spécialistes contemporains.

Sully, un modèle de rigueur

À Sully-sur-Loire (Loiret), découverte de Sully, le grand ministre de l’austérité, auteur des Œconomies royales et modèle premier des économistes libéraux du XVIIIe siècle.

Pierre Bayle : tolérance et liberté religieuse

À une époque agitée par des troubles religieux très graves, Pierre Bayle a porté la voix de la concorde et de la tolérance avec force et courage, jusqu’à s’attirer les critiques de son propre milieu protestant. C’est qu’à la différence des premiers défenseurs de la tolérance en Europe, il étend la liberté religieuse à tous. Aujourd’hui, un musée installé dans sa maison natale, à Carla-Bayle (Ariège), retrace cette vie au service de la paix des religions, et cette pensée riche qui a nourrie le siècle des Lumières.

Pierre de Boisguilbert, fondateur du laissez-faire

Détour par Pinterville, où un certain Pierre de Boisguilbert (1646-1714), ayant sous les yeux la misère du peuple sous le règne de Louis XIV, propose une réforme audacieuse et nouvelle : laissez faire.

L’abbé de Saint-Pierre, pour la paix et la liberté

Au début du XVIIIe siècle, inspiré par les exemples de Descartes, Vauban ou Boisguilbert, l’abbé de Saint-Pierre (1658-1743) a multiplié les écrits et les projets pour défendre le double idéal de la paix et de la liberté. Avec plusieurs siècles d’avance, il a proposé l’instauration d’institutions internationales pour garantir la paix et la liberté du commerce. Au sein de l’économie politique naissante, il a participé à rectifier les idées sur le commerce, la monnaie, l’impôt. À Saint-Pierre-Église, dans le château où il est né et où il a composé la plupart de ses grands projets, Benoît Malbranque raconte la vie et les idées de ce chaînon manquant entre le classicisme et les Lumières, qui a servi d’inspiration à plusieurs générations de penseurs épris de l’idée de liberté.

Vincent de Gournay : laissez faire et laissez passer

Derrière les murs de la cité de Saint-Malo, découverte de la vie et de l’oeuvre de Vincent de Gournay, négociant devenu économiste, promoteur courageux du ‘laissez faire, laissez passer’.

Simon Clicquot, premier théoricien de la liberté du travail

Découverte à Reims d’un ancêtre de la Veuve Clicquot, l’économiste Simon Clicquot, auteur méconnu qui fut pourtant le premier théoricien de la liberté du travail.

François Quesnay, économiste à la cour de Versailles

En 1749, devenu médecin personnel de la favorite du roi Louis XV, François Quesnay s’installe à Versailles où il va poser les fondements de la science économique et former la première école de pensée économique de l’histoire : la Physiocratie.

Dupont de Nemours et les débuts de la physiocratie

C’est à Chevannes, dans le Loiret, que Dupont (de Nemours) a passé la première partie de sa carrière d’économiste, ayant acheté sur ces terres une propriété qui le mettait à proximité géographique du marquis de Mirabeau, son collègue au sein de l’école de Quesnay. Dans cette vidéo, B. Malbranque revient sur sa trajectoire au sein du groupe physiocratique, dont il fut le plus jeune mais non le moins actif.

Louis-Paul Abeille, une théorie du libre-échange entre A. Smith et F. A. Hayek

Économiste du XVIIIe siècle, Louis-Paul Abeille est aujourd’hui tout à fait oublié, y compris à Rennes, où il a vécu. Cependant, les arguments par lesquels il défend la liberté des échanges font de lui un précurseur à la fois d’Adam Smith et de Friedrich Hayek.

Nicolas Baudeau, physiocrate, fondateur des Éphémérides du Citoyen

À Chancelade, où il a été formé et a vécu comme chanoine régulier, nous revenons sur l’abbé Nicolas Baudeau, physiocrate, défenseur de la propriété et des libertés, qu’il a étudié du point de vue philosophique et économique. Auteur de nombreux ouvrages et fondateur premier du périodique les Éphémérides du Citoyen, il a laissé une trace réelle dans l’histoire de la pensée libérale en France et à l’étranger.

Jean-Jacques Rousseau, ami et ennemi des libéraux français

Jean-Jacques Rousseau, qui se présente comme un ami de la liberté dans ses écrits, et qui parfois la défend très correctement, a aussi été l’un de ses plus dangereux ennemis, notamment dans ses écrits politiques comme le Contrat social. Son influence sur le mouvement libéral français a aussi été divers, fait d’admiration et de répulsion, de proximité et d’excommunication.

Le ministère de Turgot. Partie 1 : La phase ascendante

En 1774, Versailles est en ébullition. À peine monté sur le trône, Louis XV fait le choix de Turgot pour diriger les finances. Ce ministre, animé d’un vif désir de réformes et d’un amour de la liberté, va se lancer dans des entreprises audacieuses.

La Chine, modèle des libéraux français du XVIIIe siècle

Pour les philosophes des Lumières, la Chine est un modèle de tolérance religieuse et présente un système méritocratique où l’État est administré par des lettrés. Comme les philosophes, les partisans du libéralisme économique en France s’inspirent du modèle chinois pour défendre leurs réformes fiscales et économiques.

Volney, un ‘idéologue’ au service des faits

Au sein du groupe des Idéologues, ces philosophes libéraux moqués et proscrits par Napoléon, Volney a brillé par son attachement à une démarche philosophique au contact des faits et des réalités de terrain. Dans cette vidéo, Benoît Malbranque retrace son parcours et examine ses principaux ouvrages, dont Les Ruines (1791), qui fournit l’occasion d’un voyage à Champlieu (commune d’Orrouy, 60129), au milieu des ruines d’une chapelle romane et d’un théâtre gallo-romain.

Jean-Baptiste Say entrepreneur : théorie et pratique

En 1805, devenu un opposant à Napoléon, Jean-Baptiste Say se fait entrepreneur. Il s’installe à Auchy les Hesdin, dans le Pas-de-Calais, pour y conduire une filature. Une occasion pour le théoricien de l’entrepreneur de joindre la théorie à la pratique.

La Normandie, vivier du libéralisme français 

La Normandie peut s’enorgueillir d’avoir été à l’origine de quelques-uns des plus grands noms du libéralisme français : Pierre de Boisguilbert, l’abbé de Saint-Pierre, Turgot, Dupont de Nemours, Alexis de Tocqueville, Frédéric Passy ou Paul Leroy-Beaulieu.

Là où tout a commencé pour Alexis de Tocqueville

À 16 ans, Alexis de Tocqueville s’installe à Metz. Il y rejoint son père, devenu préfet de la Moselle. Les trois années qu’il va y passer vont avoir une influence profonde sur sa pensée et sa carrière politique futures.

La famille Say, pilier de l’école libérale française

À Nantes, comme ailleurs en France, on connaît bien Louis Say, fondateur des sucreries Say, devenues Beghin-Say, et on a oublié son frère, Jean-Baptiste Say, ainsi que sa descendance, qui a eu une influence considérable sur l’école libérale française.

L’écologie dans la tradition libérale française

Les grands auteurs qui ont fondé en France la doctrine du libéralisme étaient en grande majorité des ruraux, attentifs à la nature. Dans le domaine des idées, ils ont traité (parfois en vrais pionniers) de thèmes authentiquement écologistes, mettant en avant des convictions étonnantes, et aboutissant à revendiquer, par exemple chez Paul Leroy-Beaulieu, au XIXe siècle, un rôle de protection par l’État des ressources et des richesses du territoire de la France.

Le tunnel sous la Manche, enfant de la Société d’économie politique

Pendant des décennies, les économistes libéraux français — de Maurice Chevalier à Paul Leroy-Beaulieu, en passant par Léon Say — se sont enthousiasmés devant l’idée d’un tunnel sous la Manche. Pionniers finalement malheureux, ils ont accompagné les premiers pas d’une œuvre vectrice de paix et de prospérité.

Yves Guyot, dernier grand nom de l’école libérale française

À Dinan, en Bretagne, découverte d’un libéral intransigeant, Yves Guyot, économiste, écrivain, homme d’État, partisan d’un État minimal, du libre-échange et de la tolérance dans les moeurs.

La Grande Guerre et la relève du libéralisme français

Après avoir perdu coup sur coup G. de Molinari et F. Passy, morts en 1912, l’école libérale française aborde la Première Guerre mondiale très affaiblie. Pierre-Leroy Beaulieu, fils de Paul Leroy-Beaulieu, petit-fils de Michel Chevalier, est alors l’un de ceux en qui le camp libéral place ses espérances : il meurt sur le champ de bataille en janvier 1915.


La liberté du choix (Free to Choose)

 

Free to Choose ou La liberté du choix est une série de dix émissions télévisées par Milton Friedman et sa femme Rose en 1980. Dans ce documentaire pédagogique, Friedman critique l’interventionnisme du gouvernement dans l’économie américaine, et défend un ambitieux programme de libéralisation, concrètement, secteur par secteur : éducation, travail, santé, monnaie.

Épisode 1 : Le pouvoir du marché

Dans le 1er épisode, Milton Friedman nous emmène à Hong Kong, où il voit opérer un capitalisme de libre marché qui élève d’une manière remarquable le niveau de vie des gens et agit comme un aimant envers toutes les populations des pays environnants.

Épisode 2 : La tyrannie du contrôle

Dans le 2e épisode, Milton Friedman dresse la critique de l’interventionnisme, cette doctrine selon laquelle l’État entreprend délibérément d’entraver le fonctionnement de l’économie. Il propose, pour contrer cette tendance et éviter les maux qu’elle entraîne, une règle constitutionnelle qui cantonne la puissance publique à sa juste place.

Épisode 3 : 1929 : l’anatomie d’une crise

Dans le 3e épisode, Milton Friedman raconte les origines de la crise de 1929 et les erreurs de la Réserve fédérale américaine. Il revient sur la naissance de la doctrine keynésienne, souligne ses effets, et précise pourquoi elle plut autant aux hommes politiques.

Épisode 4 : Du berceau au tombeau

Dans le 4e épisode, Milton Friedman raconte comment les programmes de l’État-providence, quoique bien intentionnés, produisent des résultats pernicieux. L’aide sociale, déterminée et attribuée par des bureaucrates, rabaisse l’individu au statut d’enfant et l’oblige à subir une intrusion sans précédent dans sa vie privée. Par ailleurs, les programmes d’aide sociale ont tendance à perpétuer les situations qu’elles prétendent résoudre en désincitant les récipiendaires à trouver un travail ou à sortir de leur situation.

Épisode 5 : Créés égaux

Dans le 5e épisode, Milton Friedman met en opposition les deux acceptations, très différentes, de la notion d’égalité : d’un côté l’égalité des chances, et de l’autre l’égalité matérielles des conditions. Si la première renforce la liberté et garantit le progrès économique et social des masses, l’idéal égalitariste en revanche, notamment via la redistribution des revenus, blesse la liberté tout en apportant des résultats médiocres.

Épisode 6 : Les maux de nos écoles

Dans le 6e épisode, Milton Friedman présente les preuves de la faillite complète du modèle de l’éducation publique. Il soutient que la structure monopolistique du domaine de l’éducation est la principale raison de cet échec. Par l’intermédiaire d’un système de chèques éducation, il soutient que la libre concurrence serait capable d’améliorer le niveau des écoles et la satisfaction, tant des enfants que des parents.

Épisode 7 : Qui protège le consommateur ?

Dans le 7e épisode, Milton Friedman explique pourquoi c’est le marché, par l’intermédiaire de l’action de l’intérêt personnel, qui protège le plus sûrement les consommateurs. Les agences étatiques et leurs règlements, à l’inverse, génèrent selon lui des abus tels, ils réduisent à ce point la liberté et l’efficacité économique, qu’il s’avère plus sage de ne pas confier du tout à l’État cette tâche.

Épisode 8 : Qui protège le travailleur ? 

Dans le 8e épisode, Milton Friedman étudie le fonctionnement du marché du travail et cherche à déterminer si les syndicats, par leurs actions, ont une influence positive sur le bien-être des travailleurs. Il conclut de son analyse que l’amélioration des conditions des travailleurs a été obtenue non pas grâce aux syndicats, mais malgré eux.

Épisode 9 : Guérir l’inflation

Dans le 9e épisode, Milton Friedman nous emmène au Japon, en Allemagne et en Angleterre pour nous montrer les maux que provoque une inflation incontrôlée. Il soutient ensuite que la seule solution pour guérir de l’inflation, c’est de se lancer dans une politique délibérée de ralentissement de la production monétaire et de s’y tenir.

Épisode 10 : Comment rester libres ?

Dans le 10e épisode, Milton Friedman dresse un bilan malheureux : force est de constater que les États-Unis s’éloignent de l’idéal de liberté sur lequel le pays a été initialement fondé. Cette tendance vers un État interventionniste et des libertés restreintes n’est pas sans provoquer des réactions et des protestations.

 


Apprendre la liberté (LearnLiberty)

 

Les vidéos de LearnLiberty sont conçues pour vulgariser d’une manière dynamique et convaincante les grands enseignements de la pensée libérale. Leur format court permet d’attirer un public jeune, qui découvre le libéralisme.

Adam Smith et la main invisible

Les externalités négatives et le théorème de Coase

Le sophisme de la vitre cassée

Pourquoi ne pas imprimer plus de billets ?

Le despotisme démocratique et ses remèdes selon Tocqueville

Trois mythes sur le capitalisme

Chômage : solution étatiste, solution libérale

Le capitalisme de connivence aux États-Unis

Le marché libre a besoin de règles

Le 1% aux États-Unis : qui sont-ils ?

Liberté économique et qualité de vie

Pourquoi les hommes politiques ne réduisent-ils pas les dépenses ?

Démocratie, tyrannie et liberté

Trois mythes sur la Grande Dépression

Une introduction à la liberté

Les conséquences économiques du salaire minimum

“Les riches s’enrichissent et les pauvres s’appauvrissent”

Les trois plus grands mythes sur l’immigration

L’État de Droit

Les entrepreneurs disparaissent

Souhaiteriez-vous vivre dans le monde d’Atlas Shrugged (La Grève) ?

La liberté ou l’égalité : le débat Rawls/Nozick

Défense du droit de propriété

Ayn Rand : une grande dame du libéralisme

Qu’est-ce qui motivait Adam Smith ?

La dignité humaine et la liberté du choix

Allons-nous manquer de ressources ?

Le salaire minimum nuit-il aux employés ?

Liberté, sécurité et TSA

Comment les gouvernements devraient-ils gérer la dette ?

Les externalités négatives et le théorème de Coase

Les effets de l’interdiction des drogues

La paix et le libre-échange

Qu’est-ce qui nous motive

Voler aux pauvres pour donner aux riches

Comment truquer un vote à la majorité ?

Le despotisme démocratique et ses remèdes selon Tocqueville

Game of Thrones, une course au pouvoir qui doit cesser !

House of Cards : Les trois grandes leçons de Frank Underwood

Comment le capitalisme de copinage nuit à l’économie

Qui vous exploite le plus : les capitalistes ou les politiciens ?

Pourquoi 1% détient 99% de la richesse ?

Travailler plus pour gagner moins

Ce que veut dire être libertarien

Valeur subjective ou valeur objective ?

La révolte du geai moqueur, de Ferguson à Hong Kong

Le gouvernement crée-t-il des emplois ?

Les droits de propriété, le meilleur ami du citoyen ordinaire

Individualisme vs. collectivisme

Pourquoi la liberté économique favorise un monde meilleur

Pourquoi ne trouvez-vous pas de travail ?


Conférences de l’Institut Coppet

Les conférences de l’Institut Coppet ont toujours eu pour vocation de servir de vitrine à la forte activité de recherche que mènent nos associés dans les domaines de la philosophie de la liberté, de la théorie économique et de l’histoire des traditions française et autrichienne d’économie politique. À notre grand regret, faute de moyens nous n’avons pas eu l’occasion, ces derniers mois, d’en organiser.

Conférence de Guillaume Vuillemey sur Keynes. Partie 1 : La vie et la pensée de Keynes. Partie 2 : Les débats qui ont émergé au XXe siècle autour de la pensée de Keynes.

Conférence de Michel Leter sur le thème : Le libéralisme est-il anglo-saxon ?

Conférences de Benoît Malbranque sur Richard CantillonQuesnay et les PhysiocratesTurgot

Séminaire sur l’école autrichienne d’économie : Partie 1 : Comprendre les crises économiques, par Marian Ebrasu ; Partie 2 : Keynes à l’épreuve de l’école autrichienne, par Gabriel Gimenez-Roche

Conférence sur le colloque Lippman et les débuts du néo-libéralisme, par Christian Michel

Séminaire de Frank Karsten autour de son livre Dépasser la démocratie