Frédéric Bastiat – Sophismes économiques (deuxième série)

Au XVIIIe siècle, les économistes français, et particulièrement les physiocrates, ont posé les termes de la question du libre-échange avec une netteté apparente. La liberté du commerce, disaient-ils, est juste, car c’est la conséquence du droit de propriété ; elle est utile, car elle permet l’échange le plus avantageux possible. Au milieu du XIXe siècle, Frédéric Bastiat renouvelait toutefois la défense classique du libre-échange. Au milieu de sceptiques et de libéraux soi-disant pragmatiques, qui acceptaient les termes protectionnistes, il s’attachait plus que jamais aux principes. Surtout, devant l’apathie de l’opinion publique et le dégoût pour les livres sérieux, il se lançait délibérément dans une défense littéraire de la liberté du commerce, et offrait, à l’étonnement de tous mais pour le plaisir de tant de générations, des apologues, des historiettes, qui lui valent une place à part dans l’histoire de la pensée économique. — Ce volume contient le texte de la deuxième série des Sophismes économiques, qui parut en 1848.

Frédéric Bastiat – Sophismes économiques (première série)

Au XVIIIe siècle, les économistes français, et particulièrement les physiocrates, ont posé les termes de la question du libre-échange avec une netteté apparente. La liberté du commerce, disaient-ils, est juste, car c’est la conséquence du droit de propriété ; elle est utile, car elle permet l’échange le plus avantageux possible. Au milieu du XIXe siècle, Frédéric Bastiat renouvelait toutefois la défense classique du libre-échange. Au milieu de sceptiques et de libéraux soi-disant pragmatiques, qui acceptaient les termes protectionnistes, il s’attachait plus que jamais aux principes. Surtout, devant l’apathie de l’opinion publique et le dégoût pour les livres sérieux, il se lançait délibérément dans une défense littéraire de la liberté du commerce, et offrait, à l’étonnement de tous mais pour le plaisir de tant de générations, des apologues, des historiettes, qui lui valent une place à part dans l’histoire de la pensée économique. — Ce volume contient le texte de la première série des Sophismes économiques, qui parut en 1845.

Correspondance avec la famille Cheuvreux (partie 3 sur 3)

En 1878, les éditions Guillaumin publiaient une correspondance de Frédéric Bastiat avec la famille Cheuvreux. Depuis, cette ressource n’a cessé d’être utilisée par les spécialistes de son œuvre ou du libéralisme français, qui y trouvent les confessions et les états d’âme d’un auteur cardinal. — Récemment, l’Institut Coppet a mis la main sur deux copies inédites de ces lettres, qui dévoilent de nombreuses et profondes altérations. Dans cette nouvelle édition les lettres et fragments censurés sont rétablis, faisant réapparaître Bastiat dans toute son originalité et son authenticité.

Correspondance avec la famille Cheuvreux (partie 2 sur 3)

En 1878, les éditions Guillaumin publiaient une correspondance de Frédéric Bastiat avec la famille Cheuvreux. Depuis, cette ressource n’a cessé d’être utilisée par les spécialistes de son œuvre ou du libéralisme français, qui y trouvent les confessions et les états d’âme d’un auteur cardinal. — Récemment, l’Institut Coppet a mis la main sur deux copies inédites de ces lettres, qui dévoilent de nombreuses et profondes altérations. Dans cette nouvelle édition les lettres et fragments censurés sont rétablis, faisant réapparaître Bastiat dans toute son originalité et son authenticité.

Correspondance avec la famille Cheuvreux (partie 1 sur 3)

n 1878, les éditions Guillaumin publiaient une correspondance de Frédéric Bastiat avec la famille Cheuvreux. Depuis, cette ressource n’a cessé d’être utilisée par les spécialistes de son œuvre ou du libéralisme français, qui y trouvent les confessions et les états d’âme d’un auteur cardinal. — Récemment, l’Institut Coppet a mis la main sur deux copies inédites de ces lettres, qui dévoilent de nombreuses et profondes altérations. Dans cette nouvelle édition les lettres et fragments censurés sont rétablis, faisant réapparaître Bastiat dans toute son originalité et son authenticité.

Frédéric Bastiat – Correspondance avec la famille Cheuvreux (édition corrigée, avec des inédits)

En 1878, les éditions Guillaumin publiaient une correspondance de Frédéric Bastiat avec la famille Cheuvreux. Depuis, cette ressource n’a cessé d’être utilisée par les spécialistes de son œuvre ou du libéralisme français, qui y trouvent les confessions et les états d’âme d’un auteur cardinal. — Récemment, l’Institut Coppet a mis la main sur deux copies inédites de ces lettres, qui dévoilent de nombreuses et profondes altérations. Dans cette nouvelle édition les lettres et fragments censurés sont rétablis, faisant réapparaître Bastiat dans toute son originalité et son authenticité.

Débat sur le socialisme avec Victor Considérant

Le 2 janvier 1848, dans une réponse à une lettre de Victor Considérant, Frédéric Bastiat critiquait en ces termes les subventions gouvernementales prévues pour venir en aide à des industries malades : « Mais alors, ces industries ruineuses (devenues lucratives par des largesses du public), je vous demanderai avec quoi elles se développeront. Avec du capital, sans doute. Et d’où sortira ce capital ? Des autres canaux de l’industrie où il gagnait sans mettre la main au budget. Ce que vous proposez revient donc à ceci : Décourager les bonnes industries pour encourager les mauvaises ; faire sortir le capital d’une carrière où il s’accroît pour le faire entrer dans une voie où il se détruit, et faire supporter la destruction, non par l’industriel maladroit et malavisé, mais par le contribuable. »