Ludwig von Mises – La mentalité anticapitaliste

Publié en 1956, La Mentalité anticapitaliste est l’un des essais les plus singuliers de Ludwig von Mises. Loin des démonstrations économiques de ses grands traités, Mises y explore les ressorts psychologiques et sociaux de l’hostilité envers le capitalisme. Il y montre que cette haine n’est pas fondée sur la raison, mais sur le ressentiment : celui d’individus frustrés par les exigences impersonnelles du marché.

Ludwig von Mises – Le chaos du planisme

Dans Le chaos du planisme, Ludwig von Mises examine l’idée selon laquelle l’action gouvernementale pourrait organiser la production et la société de manière plus juste et plus efficace. Il soutient au contraire que, sans propriété privée et sans prix libres, la planification économique se prive des repères nécessaires à la coordination des actions humaines. À travers cette critique du planisme, Mises esquisse une réflexion plus large sur l’ordre social moderne et les conditions de toute coopération rationnelle entre les individus.

Ludwig von Mises – La bureaucratie

Publié en 1944, La Bureaucratie explore comment les principes de l’analyse économique peuvent éclairer le fonctionnement des institutions non marchandes. Ludwig von Mises y examine le comportement des bureaucrates en utilisant la même « boîte à outils » que celle employée par l’économiste pour analyser les choix des consommateurs et des producteurs. Loin de réduire la bureaucratie à un destin fatal ou à un vice moral, il la présente comme une réponse nécessaire là où les prix ne peuvent guider l’action, et comme inefficace lorsque les prix pourraient remplir ce rôle.

Ludwig von Mises – Théorie et histoire

« Le quatrième et dernier grand ouvrage de Mises, Théorie et Histoire (1957), a eu remarquablement peu d’impact et a rarement été cité, même par les jeunes économistes du récent renouveau autrichien. Il reste de loin le chef-d’œuvre le plus négligé de Mises. Et pourtant il fournit le soubassement philosophique et l’élaboration de la philosophie sous-tendant l’Action humaine. C’est la grande œuvre méthodologique de Mises, qui explique la base de son approche de l’économie et qui offre des critiques étincelantes de solution de rechange aussi fallacieuses que l’historicisme, le scientisme et le matérialisme dialectique marxiste. » (Murray Rothbard)

Ludwig von Mises – Le gouvernement omnipotent

Publié en 1944, Gouvernement omnipotent est l’un des ouvrages les plus lucides de Ludwig von Mises sur la montée du totalitarisme au XXᵉ siècle. Mises y démontre que la guerre, le nationalisme économique et la planification étatique procèdent d’une même racine intellectuelle : la croyance dans l’omnipotence du gouvernement. Contre cette illusion, il défend la société libre fondée sur la coopération volontaire et pacifique dans le cadre de la division (internationale) du travail. Ce livre est à la fois une analyse historique des dérives collectivistes et un plaidoyer vigoureux pour le libéralisme classique.

La modestie du laissez-faire

La promotion d’un ordre naturel et de la non-intervention de l’autorité dans le fonctionnement des institutions sociales et économiques provient de la reconnaissance de la limite de notre raison et de l’incapacité qui est la nôtre de comprendre les phénomènes complexes de la coopération sociale et d’agir sur eux de manière à obtenir des résultats en phase avec nos intentions.

Socialisme, par Ludwig von Mises

Dans cet ouvrage majeur, publié pour la première fois en 1919, Ludwig von Mises instruit le procès du socialisme d’après les principes de l’école autrichienne. Sa réfutation logique, reposant sur des arguments tant anciens que nouveaux, lui valut sa notoriété, et fut un jalon important dans l’histoire de la pensée. Dans l’immédiat, cependant, l’ouvrage ne parvint pas à enrayer la montée en puissance des totalitarismes inspirés par le socialisme, au cours du XXe siècle.

Sortie de La constitution de la liberté, par Friedrich A. Hayek

Voici le magnus opus de Friedrich Hayek enfin réédité. Cet ouvrage cardinal de la pensée libérale propose un examen complet des fondements d'une société libre et prospère. Il joint, à une partie théorique et historique dense, un travail positif d'évaluation de la société actuelle, marquée par l'application du dirigisme économique et des principes de l'État-providence.

Sortie de La présomption fatale, par Friedrich A. Hayek

« L’un des mouvements politiques les plus influents de notre temps, le socialisme, est basé sur des prémisses dont on peut montrer qu’elles sont fausses et, en dépit du fait qu’il soit inspiré par de bonnes intentions, et dirigé par quelques-uns des représentants les plus intelligents de notre temps, met en danger le niveau de vie et la vie elle-même d’une large proportion de notre population existante. »

Sortie du Calcul économique en régime socialiste par Ludwig von Mises

Cette publication du jeune Mises a une importance historique considérable. En 1920, l’économiste autrichien livrait là autre chose qu’un texte de circonstance ou une rapide ébauche : sa brochure développait à fond une question de principe, celle de la possibilité ou de l’impossibilité d’un régime économique où la propriété privée des moyens de production était abolie.
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Le dirigisme démontré impossible. Mises et ses précurseurs français

Sur la question de l’impossibilité du dirigisme, le nom de Ludwig von Mises doit rester éternel. Il lui faudrait toutefois partager cette gloire avec un petit groupe d’audacieux penseurs français, les Physiocrates. Car c’est en France, dans l’agitation autour de la question — vitale au premier degré — de la liberté du commerce du blé, que les premiers arguments sur l’impossibilité du dirigisme s’étaient fait jour.

Sortie de l’Introduction à l’école autrichienne par E. Butler

L’École autrichienne d’économie est une école de pensée économique hétérodoxe qui développe, sur la base d’une méthodologie subjectiviste, une analyse des processus de marché et de la société qui met l’accent sur le rôle de la propriété privée, de la concurrence et de la liberté individuelle. Dans ce petite livre, Eamonn Butler vous introduit aux grands axes de pensées et aux grands auteurs de cette tradition intellectuelle plus que jamais actuelle.
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L’impérialisme, son coût et ses dangers (préface à Nation, État et Économie de L. von Mises)

En 1919, après avoir dû quitter le confort de la scène intellectuelle de Vienne pour rejoindre le front des combats, Mises revient à ses activités et prépare un ouvrage, Nation, État et Économie, dans lequel il entend tirer les leçons du récent conflit mondial, redresser les conceptions erronées que les hommes se sont faites sur la nation, et fixer la voie pour un avenir plus radieux.

Sortie de Nation, État et Économie (1919) de Ludwig von Mises

L'Institut Coppet est heureux d'annoncer la sortie en format papier et gratuitement en numérique de : Nation, État et Économie (1919), par Ludwig von Mises. Cet ouvrage, qui était déjà disponible dans plusieurs langues européennes, est publié pour la première fois en français. À l'heure où l'on commémore le centenaire de la Première Guerre mondiale, il est aussi d'une certaine actualité.