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Hayek et La Route de la Servitude (traduction)

La Route de la servitude intronisa Hayek comme le leader mondial de l’opposition au socialisme. Ce livre le plaça sur le chemin qui le mena en 1949 à l’Université de Chicago où il rejoignit le prestigieux Comité sur la pensée sociale. Là, pendant une dizaine d’années, il travailla sur son splendide volume La Constitution de la Liberté (publié en 1960), un ouvrage dont il espérait qu’il deviendrait l’équivalent de La richesse des nations pour le XXème siècle.
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Rothbard réédité en français

La réédition par Les Belles Lettres de L’éthique de la liberté est l’occasion de découvrir ou redécouvrir la pensée de Murray Rothbard, géant de la pensée libertarienne au même titre qu’Ayn Rand ou Robert Nozick. Rothbard est sans doute l’un des auteurs les plus originaux, iconoclastes et stimulants que la famille libérale ait engendrés.
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Comment les libertariens peuvent-ils convertir et influencer les électeurs ?

Il n’y a pas de chemin facile dans notre combat contre l’État, mais avec un réajustement majeur d’attitude et une approche plus émotionnellement intelligente, nous pouvons réussir beaucoup mieux à convertir et à influencer les électeurs. Il nous faut seulement être assez courageux pour tout d’abord admettre qu’un changement de stratégie est depuis longtemps nécessaire.
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FreedomFest à Las Vegas du 13 au 16 juillet

Fondée et produit par Mark Skousen depuis 2002, la FreedomFest invite les « meilleurs et les plus brillants » esprits du monde entier pour discuter, élaborer des stratégies, fraterniser, et célébrer la liberté. FreedomFest est ouvert à tous, les orateurs. Depuis sa création, la FreedomFest a lieu à Las Vegas, la ville la plus libertarienne du monde.

E. Martineau, le plus fidèle disciple de Frédéric Bastiat

Ernest Martineau (1844-1905), le plus fidèle disciple de Frédéric Bastiat, n’a pas la notoriété qu’il mérite. Ce propagandiste ardent du libre-échange, de la liberté individuelle et de la propriété, défenseur d’un libéralisme authentique et sans concession, a publié des centaines d’articles et plusieurs brochures sur les sophismes protectionnistes, l’erreur socialiste, et le rôle minimal de la loi et de l’État. — Dans l’introduction aux deux volumes de ses Œuvres, à paraître ce mois-ci, Benoît Malbranque présente la carrière et les idées de ce penseur fécond, injustement oublié.

Olbie, ou Essai sur les moyens de réformer les mœurs d’une nation

« Les hommes instruits, en général, font moins de mal, commettent moins de dégâts que ceux qui ne le sont pas. L’homme qui a étudié l’agriculture, et qui sait ce qu’il faut de soins pour faire pousser une plante, pour élever un arbre, celui qui connaît leurs usages économiques, sont moins près de les détruire, que l’ignorant chez qui ces précieuses productions ne réveillent aucune idée. De même, l’homme qui a étudié les bases sur lesquelles se fondent l’ordre social et le bonheur des nations, ne les sape jamais sans répugnance. »

La liberté des banques et l’agriculture

En décembre 1866, après une communication sur les bons effets de la liberté des banques sur l’agriculture dans l’île de Jersey, une discussion s’engage à la Société d’économie politique sur ce thème. Face à Louis Wolowski, leur éternel ennemi sur ce sujet, les « libre-banquistes », comme ils s’appellent — Horn, Léonce de Lavergne, notamment — font valoir que la liberté des banques revitaliserait l’agriculture et servirait au progrès économique de la France.