Le cas irlandais nous indique que ce n’est que par de longues et douloureuses luttes, et en essuyant d’abord des défaites cuisantes, que la transformation positive d’une société peut se réaliser.
Dans un article paru dans la Revue du commerce, de l'industrie et de la banque, en décembre 1907, Yves Guyot examine les causes, à ses yeux essentielles, de la panique qui vient tout juste de s'achever aux États-Unis. Comme souvent, il y a d'abord et avant tout l'intervention inadéquate du gouvernement.
Après la présentation des économistes ayant fleuri au sein de la Belgique francophone au cours du XIXe siècle, un lecteur nous a adressé un large commentaire, songeant à creuser cette notion étrange d’ « économ... LIRE LA SUITE
Un « environnementaliste » est un socialiste totalitaire dont l’objectif réel est de raviver le socialisme et la planification centralisée de l’économie sous le prétexte de « sauver la planète » des démons du capitalisme. Il est vert à l’extérieur, et rouge à l’intérieur, ce qui ne fait de lui rien de plus qu’une pastèque.
Si l’on doit avoir un État, défini comme un organisme qui exerce un monopole territorial obligatoire sur la décision en dernier ressort (la juridiction) et sur l’imposition, il est économiquement et éthiquement avantageux de choisir la monarchie plutôt que la démocratie.
Le socialiste et le défenseur du marché libre observent les mêmes faits. Mais seule une personne qui a une connaissance de l’économie comprend leur pertinence et leurs implications.
L'ignorance économique généralisée dans les pays catholiques, ainsi qu'une tendance à moraliser, a jadis conduit de larges cercles de catholiques à rechercher les causes de la pauvreté dans les principes moraux, et à faire de la « redistribution » le slogan de leurs programmes de réformes. Mais ni dans les pays développés, ni dans le tiers monde, la redistribution ne peut arriver à quelque succès que ce soit.
Pour la génération actuelle, Hitler est l'homme le plus détesté de l'histoire, et son régime l'archétype du mal politique. Cependant, ce point de vue ne s'étend pas à sa politique économique. Loin de là. Elle est accueillie à bras ouvert par les gouvernements du monde entier.
Permettez à Detroit de devenir une ville sûre, coopérative, qui représente le meilleur de ce que l'Amérique peut être. La liberté économique assurera la renaissance de Detroit.
F. Bastiat décrit parfaitement une société qui a été laminée par la dépréciation de sa monnaie. Nous vivons le plus grand transfert et la plus grande destruction de richesses de l’Histoire.
L'économie néoclassique orthodoxe a longtemps soutenu que, du point de vue des imposés eux-mêmes, un impôt sur le revenu était plus adapté qu’un impôt indirect sur une forme particulière de consommation, puisque, en plus du revenu total extrait, qui est supposé être le même dans les deux cas, l’impôt indirect surcharge lourdement le prélèvement contre un type de consommateur bien particulier.
C’est déjà un comble que les opposants au marché libre accusent de manière erronée le capitalisme de la pollution environnementale, des dépressions économiques et des guerres.
Nous vivons dans un monde d'euphémisme. Les croque-morts sont devenus des « pompes funèbres », les attachés de presse sont désormais des « conseillers en relations publiques » et les concierges ont tous été transformés en « surintendants ». Dans tous les domaines de la vie, les faits bruts ont été camouflés par la brume.
Ou bien nous jugeons possible la société naturelle, et nous sommes partisans de l’anarchisme ; ou bien nous la jugeons impossible, et nous voilà partisans du système bourgeois.
Les tortures ? Depuis longtemps le mot nous est à tous devenu familier. Rares sont ici ceux qui y ont échappé. Aux « entrants » à qui l’on peut adresser la parole, les questions que l’on pose sont, dans l’ordre : « Arrêté depuis longtemps ? Torturé ? Paras ou policiers ? » Mon affaire est exceptionnelle par le retentissement qu’elle a eu. Elle n’est en rien unique. Ce que j’ai dit dans ma plainte, ce que je dirai ici illustre d’un seul exemple ce qui est la pratique courante dans cette guerre atroce et sanglante.
Le samedi 14 juillet dernier, la France a commémoré le 223 ème anniversaire de la prise de la Bastille. Mais, comment analyser et apprécier les événements de 1789 d’un point de vue strictement libéral ?