L’Institut Coppet a lancé sa revue Laissons Faire, qui paraît les 18 de chaque mois et porte sur l’étude des économistes français, en montrant les leçons que nous pouvons tirer de leurs analyses et de leurs thé... LIRE LA SUITE
Il n'est pas difficile de faire l'éloge de l'État-providence quand les conséquences des dépenses publiques rampantes ne se transforment pas en fardeau sur vos épaules, ou de sympathiser avec des dictateurs quand les victimes de leur violence vous sont étrangères.
Ce texte peu connu est une réflexion sur ce que Tocqueville appelle la démocratie pure pratiquée dans les cantons suisses, à savoir ce que nous appelons aujourd'hui la démocratie directe.
L’impôt dans l’Ancien Régime et en 2013, pubblicato sul n. 5 (ottobre 2013) di Laissons Faire. Revue des économistes français, il mensile pubblicato dall’Institut Coppet di Parigi
Per quanto debole possa essere l'influenza degli economisti francesi nei dibattiti economici contemporanei, la storia della formazione e dello sviluppo del pensiero economico è ovunque segnata dai contributi fondamentali dei Francesi.
Depuis 100 ans, l’école autrichienne, sous l'égide de Ludwig von Mises et Friedrich Hayek, a développé une théorie de l’entrepreneur essentielle pour comprendre les crises.
Il ne suffit pas de garantir les libertés individuelle conte les empiétements d’autrui, dit Constant. Il faut aussi les garantir contre les empiétements de la législation, c’est-à-dire des décisions collectives qui peuvent résulter d’un vote à la majorité.
Marian Eabrasu est professeur d’économie et d’éthique à l’ESC-Troyes. Il a été auparavant attaché d'Enseignement et de Recherche à l'Université Paris VIII Saint-Denis.
L’Institut est depuis sa création intégralement et uniquement financé par la vente de sa production, ouvrages ou conférences essentiellement, ainsi que par les dons généreux d’individus attachés à la liberté et au sens de notre action.
Le capitalisme est un système de pertes et de profits dans lequel les entrepreneurs qui survivent sont les plus capables d'être en adéquation avec les besoins de la société.
Malgré tous ces succès, nous, les libéraux, nous n’avons pas su préserver l’âme du libéralisme. Sauver les livres et les idées était certes nécessaire. Mais, tout seul, cela ne suffit pas pour assurer un avenir à notre philosophie. Notre problème réside dans la manière de présenter notre idéal.