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Le dirigisme démontré impossible. Mises et ses précurseurs français

Sur la question de l’impossibilité du dirigisme, le nom de Ludwig von Mises doit rester éternel. Il lui faudrait toutefois partager cette gloire avec un petit groupe d’audacieux penseurs français, les Physiocrates. Car c’est en France, dans l’agitation autour de la question — vitale au premier degré — de la liberté du commerce du blé, que les premiers arguments sur l’impossibilité du dirigisme s’étaient fait jour.
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Henri Hazlitt, l’« illustre ami » de Mises

S’adressant directement à Hazlitt, qu’il appelait son « illustre ami », Mises déclara que si cette nouvelle génération de défenseurs de la liberté devait trouver le succès dans ses efforts, « ce serait dans une large mesure votre mérite, le fruit de votre travail de ces 70 premières années de votre vie »
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Mises, Théorie et histoire (1957)

Le quatrième et dernier grand ouvrage de Mises, Théorie et Histoire (1957), a eu remarquablement peu d'impact et a rarement été cité, même par les jeunes économistes du récent renouveau autrichien. Il reste de loin le chef-d'œuvre le plus négligé de Mises. Et pourtant il fournit le soubassement philosophique de l'Action humaine.

Laissons Faire, n°33, mai 2019

Au sommaire de ce nouveau numéro : une traduction inédite d'un texte de Ludwig von Mises sur la liberté et la propriété ; la modestie du laissez-faire ; Benjamin Constant économiste ; ainsi qu'un dossier complet consacré à l'opposition entre Proudhon et Molinari à l'aube de la Révolution de 1848.