Histoire abrégée des impositions mises en Angleterre, etc., Journal de l'agriculture, du commerce et des finances, octobre 1765, p. 83-106, avec des notes de Dupont (de Nemours)
Pierre-Samuel Dupont (de Nemours), Extraits d’un mémoire sur les restrictions imposées à la liberté du commerce de nos grains, Gazette du Commerce, reproduit sous le titre de Réflexions sur le commerce de pure industrie, Journal de l’agriculture, du commerce et des finances, octobre 1765, p.31-82
Dans le monde universitaire, les spécialistes actuels de la Physiocratie sont des adversaires du libéralisme. Un livre collectif récent regroupe les contributions de plusieurs d’entre eux sur les anti-physiocrates, auteurs qui aident, disent-ils, à remettre en question les lois naturelles de l’économie et à lutter contre le néolibéralisme, l’ennemi ultime.
En étudiant la brochure de Dupont de Nemours sur l’éducation nationale, on comprend mieux pourquoi les idées des premiers libéraux sur l’éducation sont généralement dédaignées. S’il cherche à mettre en valeur la liberté, à la faire aimer, son projet repose sur une conception de l’éducation qui est elle fondamentalement dirigiste.
Les mois qui précédèrent l’introduction des Assignats, qui ruinèrent le peuple français quelques années plus tard, illustrent éloquemment la nécessité de diffuser, partout, le bon sens économiste.
Dans un Projet de décret de 1790, Dupont de Nemours propose : « La Nation Française ne se permettra aucune guerre offensive pour s’emparer du territoire d’autrui, ni pour porter atteinte aux droits ou à la liberté d’aucune Nation. »
Les privilèges exclusifs sont absolument à prescrire, à cause du tort qu’ils font au public consommateur et à l’esprit de concurrence entre les producteurs. En réservant un secteur économique à un producteur unique et privilégié, ils violent aussi le droit qu’a chaque homme de travailler dans le domaine de son choix.
1774
146. — LETTRES À DU PONT DE NEMOURS.
CXXXVI. — (Nomination de Turgot au Ministère de la Marine.)
Paris, mercredi 20 juillet.
Me voilà dans le ministère, mon cher Du Pont ; ainsi les bruits publics ne s... LIRE LA SUITE
1774
139.— LETTRES À DU PONT DE NEMOURS.
CXXXI. (Arrivée de Turgot à Paris.)
Lundi.
Je suis arrivé hier, mon cher Du Pont, je désire bien vous voir ; si vous êtes encore malade, mandez-le-moi, afin que si l... LIRE LA SUITE
1773
134. — LETTRES À DU PONT DE NEMOURS.
CXXI. (Arrivée de Turgot à Paris.)
Limoges, 11 janvier.
Vous devez, mon cher Du Pont, être impatienté de ne me point voir arriver. Je n'arriverai que dimanche proch... LIRE LA SUITE
127. — LETTRES À DU PONT DE NEMOURS.
CX. (Mme Du Pont. — Les Éphémérides.)
Jeudi, 7 mai.
Votre lettre, mon cher Du Pont, ne saurait être mieux et je l’envoie. Je me reproche de n'avoir pas été vous voir depu... LIRE LA SUITE
120. — LETTRES À DU PONT DE NEMOURS.
LXXXVII. (Béranger. — Albert. — La liberté de la presse. — Les Éphémérides.)
Limoges, 4 janvier.
Je vous ai écrit, mon cher Du Pont ; vous n'avez pas reçu ma lettre, mais... LIRE LA SUITE
96. — LETTRES À DU PONT DE NEMOURS.
XXVIII. — (L’abbé Baudeau. — La goutte. — Mme Geoffrin.)
Il y a longtemps que je vous ai vu, mon cher Du Pont ; cependant j'ai plusieurs choses à vous dire.
1° Je voulais ... LIRE LA SUITE
82. — LETTRES A DU PONT DE NEMOURS.
VI. (Le concours sur l'impôt indirect. — La paresse de Turgot. — L'amitié. — Le Journal de l'Agriculture, etc. — La concurrence ; la liberté du commerce et de l'industrie. —... LIRE LA SUITE
68. — LETTRES À DU PONT DE NEMOURS.
(Du Pont de Nemours a donné, dans L'Enfance et la Jeunesse de Du Pont de Nemours racontées par lui-même, les renseignements ci-après au sujet de ses relations et de sa corre... LIRE LA SUITE
Extrait de L'enfance et la jeunesse de Du Pont de Nemours racontées par lui-même (Paris, 1906)
M. Quesnay traitait les différentes personnes qui venaient chez lui en raison de la capacité qu’il leur cr... LIRE LA SUITE
En étudiant la brochure de Dupont de Nemours sur l’éducation nationale, on comprend mieux pourquoi les idées des premiers libéraux sur l’éducation sont généralement dédaignées. S’il cherche à mettre en valeur la liberté, à la faire aimer, son projet repose sur une conception de l’éducation qui est elle fondamentalement dirigiste.
Ami des philosophes et des hommes de lettres, protectrice déclarée de l'Encycopédie, Mme de Pompadour a aussi aidé l'éclosion et le développement de l'école physiocratique, sous la houlette de son médecin personnel, le docteur François Quesnay.
Lettre de Dupont de Nemours à Abeille, sans date (1768)
Hagley archives, W 2 – 17
à Monsieur Abeille
Monsieur,
Vous devez savoir depuis très longtemps que j’aime la paix, et je m’aperçois en effet... LIRE LA SUITE