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Les défauts de l’intervention de l’État dans l’énergie nucléaire

L'État, par sa culture du secret, ses restrictions sans fin et ses subventions déraisonnables, a fait plus de mal que de bien sur le secteur de l'énergie nucléaire. Seul un développement de la technologie nucléaire sur le marché libre et sous la loi de la concurrence peut permettre de tirer le meilleur parti de cette énergie, à moindres frais et à moindres risques pour le public consommateur.
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Y a-t-il un droit à la syndicalisation ?

Il n’existe pas de droit à être syndiqué parce que la syndicalisation implique toujours l’usage de la violence, soit la violence physique, soit la menace de la violence physique, soit la violence légale, qui contraint les patrons à se soumettre. Le syndicalisme c’est l’affirmation d’un droit du plus fort, c’est-à-dire un faux droit.
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Les États-Unis et le Mexique

En 1854, Horace Say rapporte que le peuple américain, emporté par la fougue de ses pionniers, a des visées sur son voisin du sud. Selon l'auteur, c’est le rôle de l’Américain, laborieux, industrieux, de s’annexer le Mexique pour entreprendre de le défricher et de le développer.
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L’État contre le transport ferroviaire

Dans le domaine du transport ferroviaire, dont la gestion publique est prétendument évidente, les résultats comparés de l'initiative privée et de l'initiative par l'État ont rendu des résultats tout à fait clairs. L'exemple anglais, lors de la Révolution industrielle, et l'exemple français, sous l'intervention croissante de la puissance publique au tournant du XXe siècle, en sont la preuve.
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Quand Diderot envoyait un économiste libéral à la cour de Catherine II

En 1767, Diderot recommande à l'impératrice Catherine II de Russie le nom de Lemercier de la Rivière, physiocrate français, pour l'aider dans sa réforme du droit russe. « C’est l’apôtre de la propriété, dit-il, de la liberté et de l’évidence. De la propriété, base de toute bonne loi ; de la liberté, portion essentielle de la propriété, germe de toute grande chose, de tout grand sentiment, de toute vertu ; de l’évidence, unique contre-force de la tyrannie et source du repos. »
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Y a-t-il un droit de grève ?

Si la grève est une violation contractuelle, le fait de la définir comme un droit signifie ruiner d’entrée de jeu toute relation contractuelle, et par conséquent toute la société libérale.