Jacques Bonhomme : l’éphémère journal de F. Bastiat et G. de Molinari

JACQUES BONHOMME-COVER-2Edit (26-01-2015) : Lire ce journal comme un parisien de 1848 ?
Pour remercier les nombreux acheteurs du livre, nous avons reconstitué la maquette originale du journal et édité les différents numéros à l’identique de leur parution originale. Les fichiers sont à télécharger gratuitement ci-dessous et peuvent être imprimés en format A3.

Parution de Jacques Bonhomme : L’éphémère journal de F. Bastiat et G. de Molinari, première réédition jamais parue, avec une introduction de B. Malbranque, Institut Coppet, 138 pages, 9.50€

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Présentation de 4ème de couverture :

« Éphémère, à notre plus grande désolation, le journal à la rédaction duquel Frédéric Bastiat, Gustave de Molinari, Charles Coquelin, Joseph Garnier et Alcide Fonteyraud œuvrèrent conjointement, n’en a pourtant pas perdu toute sa saveur et toute son importance historique.

 Nous pouvons y lire des contributions oubliées de plusieurs grandes gloires du libéralisme en France : on y retrouve notamment plusieurs textes de Bastiat, comme « La liberté », « Laissez-faire », « L’État », ou encore le très éclairant « Prendre cinq et rendre quatre ce n’est pas donner ».

 Jacques Bonhomme était une feuille parmi tant, publiée au milieu des insurrections de juin 1848. Elle s’étalait sur deux pages seulement, destinées à être vendues ensemble comme un numéro, ou placardées au mur séparément, pour être lues dans la rue. On comprendra dès lors pourquoi le style des articles qui y sont contenus est si relâché, si plaisant et si enfantin.

 Le journal n’eut que quatre numéro, et, étant apparu le 11 juin, il disparut pour toujours le 13 juillet 1848.

 Il avait couvert la politique nationale de la France, avec une œil résolument et ouvertement libéral. Il avait critiqué Louis-Napoléon Bonaparte autant que Ledru-Rollin ou le général Cavaignac. »

Sommaire complet des articles :

Numéro 1 : du 11 au 15 juin 1848                           p.9

Histoire de Jacques Bonhomme. — Comment lui est venue l’idée d’écrire un journal. — Comment il entend la liberté. — Son opinion sur l’Assemblée nationale. — Comment il comprend l’État. — Son plan financier. — Jacques Bonhomme dit son mot sur le recrutement, les élections, les bons du Trésor, les caisses d’épargne et les fonds secrets, les attroupements et les affaires étrangères.

Numéro 2 : du 15 au 18 juin 1848                       p. 37

Quelques idées sur les socialistes, ou À qui le tour ? — Jacques Bonhomme attend la Constitution avec l’impatience. — Comme quoi prendre cinq et rendre quatre, ce n’est pas donner. — Consultations gratuites de Jacques Bonhomme. — Le Service de la poste. — Une mystification. — Chronique politique. — M. Louis Bonaparte. — Les trente-six manières de faire banqueroute. — Vive la République de Jacques Bonhomme. — L’Assemblée nationale.

Numéro 3 : du 15 au 18 juin 1848                        p.67

Aux citoyens Lamartine et Ledru-Rollin. — Funeste gradation. — Les Conseils des Départements et des Communes. — Tous les Français fonctionnaires publics. — Plan du ministre des finances. — Cautionnements. — Consultations gratuites de Jacques Bonhomme. — Jacques Bonhomme à l’Assemblée nationale.

Numéro 4 : du 9 au 13 juillet 1848                      p.103

Guerre civile et misère. — Sur ce que l’on peut faire pour améliorer la condition du peuple. — Timbre et Cautionnement. — Réorganisation du Conseil municipal. — Si Jacques Bonhomme avait de l’argent ! — En-tête cordiale entre la France et l’Angleterre. — Jacques Bonhomme à l’Assemblée nationale. — Dissolution des Ateliers nationaux. — Nouveau plan des Finances. — Nouveau Gouvernement. — Décrets relatifs aux bons du Trésor et à la Caisse d’épargne, etc.

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