22. — PREMIÈRE ÉLÉGIE DE TIBULLE [1]
Traduction en vers.
[A. L, minutes avec des variantes. — D. P., X, 124, reproduction exacte à quelques mots près.]
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[1] Cet essai ne présente pas assez d’intérêt pour être reproduit.
« Il datait, dit Du Pont (Mémoires, 17), de la première jeunesse de Turgot. Un jour, celui-ci le montra à Saint-Lambert comme un ouvrage de l’abbé Guérin. Saint-Lambert le critiqua avec sévérité ; Turgot chercha d’abord à défendre l’ouvrage ; ensuite, il dit à Saint-Lambert avant de le quitter : « D’après l’opinion que vous avez prise des vers que je viens de vous lire, je dois vous déclarer qu’ils ne sont pas de l’abbé Guérin, mais de moi. »
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