« Je veux me défendre devant vous, défendre mes amis, mes collaborateurs et mes maîtres, c'est-à-dire tous ceux dont l'ensemble constitue l'école à laquelle je m'honore d'appartenir, l’école de la liberté. »
L'Institut Coppet publie aujourd'hui le troisième numéro de sa revue mensuelle Laissons Faire, qui porte sur l'étude des économistes français, en montrant les leçons que nous pouvons tirer de leurs analyses et ... LIRE LA SUITE
Actualités de l’Institut Coppet
(Laissons Faire, n°1, juin 2013)
L’Institut Coppet, créé en octobre 2010 par Damien Theillier, professeur de philosophie à Paris, s’est donné pour mission première de fa... LIRE LA SUITE
S’il n’est pas exempt de critiques, il faut surtout souligner ses qualités, au nombre desquelles un style non académique limpide et accessible, une méthodologie et un plan irréprochables, et une très grande densité de connaissances en un petit nombre de pages.
Une traduction de "What has the government done to our money ?" de Murray N. Rothbard, accompagnée d’une postface de Guido Hülsmann (traduction par Stéphane Couvreur).
Gaëtan Pirou fut professeur d'économie à la Faculté de droit de Bordeaux et rédacteur en chef avec Charles Rist de la Revue d'économie politique. Dans ce second extrait, Pirou présente les idées radicales de Gustave de Molinari, le second rédacteur en chef du Journal des Economistes à Paris.
En 1892, certes, les économistes n’en sont plus à scruter les chiffres de la douane pour savoir si leur pays gagne ou perd aux échanges internationaux : mais l’utilité de ces statistiques pose question, comme l’illustre cette discussion de la Société d’économie politique. Ces données, d’abord, sont et resteront sans doute longtemps lacunaires. Pour cette raison, les indications qu’elles donnent sur le volume et la destination des échanges commerciaux doivent être considérées avec précaution. À cette condition, elles peuvent peut-être guider les réformes ou confirmer des mouvements de tendance.
En 1877, les économistes libéraux de l’Académie retracent de manière critique le passage de Turgot au Contrôle général des Finances, ministère dont on fête alors le centenaire, et qui vient d’être éclairé par un grand ouvrage de Pierre Foncin. Pour certains, comme Fustel de Coulanges, Turgot a une grande part de responsabilité dans l’échec de ses réformes, et il ne faudrait pas voir de la sagesse dans un homme qui tente volontairement l’impossible. D’autres font valoir les oppositions et les mérites intrinsèques du ministre, qui reste grand au milieu de l’adversité.
MÉMOIRES
SUR
LE DIX-HUITIÈME SIÈCLE
ET SUR LA RÉVOLUTION FRANÇAISE
MÉMOIRES DE L’ABBÉ MORELLET
IMPRIMERIE DE PAIN, PLACE DE L’ODÉON.
MÉMOIRES
DE
L’ABBÉ MORELLET,
DE L’ACADÉMIE FRANÇAISE,
SUR L... LIRE LA SUITE
ESSAI SUR LE MINISTÈRE DE TURGOT
INTRODUCTION
« Vous vous imaginez avoir l'amour du bien public, vous en avez la rage. »
(Paroles de Malesherbes à Turgot.)
TURGOT EN 1774.
En 1774, Turgot avait q... LIRE LA SUITE
En décembre 1841 commençait une aventure éditoriale de la toute première importance dans le domaine des connaissances économiques. Le Journal des économistes, qui disparaîtra presque centenaire lors de l’invasi... LIRE LA SUITE
Introduction par Jérôme Perrier*, Institut Coppet
Anselme Batbie (1828-1887), catholique fervent et conservateur, issu d’une famille de notaires du Gers, a eu une triple carrière : il fut à la fois juriste (so... LIRE LA SUITE
« Je dénonce le protectionnisme comme étant la cause principale et profonde du grand conflit qui menace la paix du monde : le protectionnisme, doctrine et système d'ignorance et d'erreur, de spoliation, de banditisme économique entre citoyens d'un même pays, d'exclusion et d'isolement des peuples. »
"Le génie français est essentiellement lucide et méthodique. Aussi est-ce, le plus souvent, grâce aux vulgarisateurs français que les découvertes scientifiques des autres nations se sont répandues dans le monde."
Hippolyte Passy a publié le premier texte exposant les raisons de la légitimité et de la nécessité de la responsabilité dans un article paru dans le « Journal des économistes » en juin 1855.
Il y a des centaines de livres qui dorment dans la poussière et qui peuvent retrouver une seconde vie. Des lecteurs nous proposent régulièrement leurs services pour participer à la traduction ou à l'édition de textes numériques. Voici enfin le mode d'emploi !
Entretien publié sur Nouvelles de France
Damien Theillier : « l’Etat est devenu l’instrument d’une lutte de pouvoir entre des minorités ou des groupes de pression »
Dans une lettre qu'il nous adresse, l'illustre M. Richard Cobden nous dit : « cette mort est plus qu'une perte privée ; elle est une grande perte pour tous les amis de la science économique dans le monde entier, et tout particulièrement pour cette partie d'élite de l'opinion en France.... dont notre ami était le centre de ralliement. »