L’Institut Coppet est une association loi 1901, présidée par Mathieu Laine, dont la mission est de participer, par un travail pédagogique, éducatif, culturel et intellectuel, à la renaissance et à la réhabilitation de la tradition libérale française, et à la promotion des valeurs de liberté, de propriété, de responsabilité et de libre marché.
Le socialisme, c'est la barbarie. Examen des questions sociales qu'a soulevées la révolution du 24 février 1848, par A. E. Cherbuliez (1848). — Texte intégral
Adolphe-Gustave Blaise (des Vosges), De l’enseignement de l’économie politique en France. Ouverture des cours du Conservatoire des Arts et Métiers (Journal des économistes, décembre 1842)
Hippolyte Dussard, Des défrichements des forêts, de leurs effets physiques immédiats, et de leur influence sur le régime économique des contrées où ils ont lieu (Journal des économistes, juillet 1842).
(Marquis de Mirabeau), Mémoire concernant l’utilité des États provinciaux, relativement à l’autorité royale, aux finances, au bonheur et à l’avantage des peuples. À Rome, Apud Laurentem Carabioni, in Via Sancra, 1750. In-12 de 54 pp.
Coup d’œil sur le cours d’économie politique de M. P. Rossi, ancien professeur au Collège de France, par Louis Reybaud (Journal des économistes, janvier 1842)
Rapport fait au nom de la section d'économie politique, finances et statistique, sur le concours Bordin relatif à l’influence exercée sur le taux des salaires par l’état moral et intellectuel des populations ouvrières, par M. Hippolyte Passy, lu dans la séance du 21 avril 1866. (Mémoires de l’Académie des sciences morales et politiques de l’Institut de France, t. XIII, 1872, p. 371-392.)
Cet ouvrage de Hans-Hermann Hoppe, dont l'Institut Coppet a entrepris la première traduction inédite, développe les fondements méthodologiques de l'école autrichienne d'économie, cet aspect fondamental sur lequel les Autrichiens se distinguent des économistes orthodoxes.
L'Institut Coppet publie dans ce numéro de sa revue un nouvel extrait du brouillon des Œuvres complètes de Molinari, volume I, avec une notice et des notes explicatives. Cet extrait, couvrant 50 pages, est consacré à l'éloge que fit le jeune Molinari d'Alphonse de Lamartine, que B. Malbranque appelle « un encombrant modèle ».