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Les faux amis du libre-échange

Dans cette lettre adressée à Yves Guyot, Ernest Martineau, disciple de Bastiat, souligne la présence de deux écoles dans la défense de la liberté du commerce : une voie modérée, qui privilégie les traités de commerce et les négociations ; et une voie radicale, à laquelle il se rallie, fondée sur les principes et sur la science, et qui ne transigeant pas, ne place rien d’autre sur son drapeau que le principe fondamental du droit à échanger.  
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Une nouvelle lettre de Frédéric Bastiat, découverte dans la correspondance de Lamartine

À l’été 1847, la bataille du libre-échange en France paraissait perdue. Les défections s'enchaînaient, et Frédéric Bastiat devait trouver de nouveaux soutiens. Il porta alors ses regards vers un adversaire de la veille, Lamartine, et lui envoya la lettre que nous publions, et qui ne se trouve pas dans les Oeuvres complètes de Bastiat.
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La fausse réfutation des bienfaits du libre-échange par Galiani

Au milieu de la controverse qu’il agita avec ses Dialogues (1770), Ferdinando Galiani chercha à tourner en ridicule les arguments physiocratiques en faveur du libre-échange dans un texte intitulé La liberté des bagarres. Il ne livrait là toutefois qu’une nouvelle mauvaise plaisanterie, où il assimilait l’échange à un vol, la concurrence à la guerre, et mille autres sophismes étriqués qu’il aurait été impossible de soutenir sérieusement.