Les faux amis du libre-échange
Dans cette lettre adressée à Yves Guyot, Ernest Martineau, disciple de Bastiat, souligne la présence de deux écoles dans la défense de la liberté du commerce : une voie modérée, qui privilégie les traités de commerce et les négociations ; et une voie radicale, à laquelle il se rallie, fondée sur les principes et sur la science, et qui ne transigeant pas, ne place rien d’autre sur son drapeau que le principe fondamental du droit à échanger.